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    Le Canada est confronté à un problème mondial : l'insécurité alimentaire

    Canada confronts a global problem: Food Insecurity

    La sécurité alimentaire va au-delà de l'agriculture ou du commerce international. Les praticiens de la durabilité adoptent une approche systémique pour lutter contre le "problème le plus stupide" du monde.

    "La faim est le problème le plus stupide au monde", affirme Komal Ahmad. La "Mère de l'invention" de Toyota en 2016 a fondé Copia, qui a récupéré plus de $4,6 millions d'euros en économies de nourriture. La faim est également un problème que les praticiens du développement durable peuvent contribuer à résoudre. Qu'il s'agisse de la gestion des terres, de l'agriculture, de la production alimentaire, de la protection de l'eau ou de la distribution, les disciplines et les industries nécessitent une approche systémique, qui fait partie intégrante de la formation reçue par les praticiens certifiés en matière de développement durable.

    Aux États-Unis, la politique gouvernementale se concentre sur la sécurité alimentaire. Au Canada, le Premier ministre Justin Trudeau a établi un mandat de grande envergure portant sur l'économie, l'environnement, la durabilité et le leadership mondial. Les solutions vont de l'agriculture/aquaculture durable aux partenariats public/privé en passant par les solutions locales. Une alimentation saine ne doit pas être l'apanage des riches ou de ceux qui vivent commodément à Vancouver ou à Toronto. Le Canada et les États-Unis sont des exportateurs de denrées alimentaires de premier plan qui peuvent nourrir leurs propres populations. Ils ont le luxe de pouvoir s'attaquer de front aux problèmes alimentaires.

    Bien que les prix des denrées alimentaires soient plus bas dans les pays exportateurs nets, il existe de grandes disparités : les régions les plus septentrionales du Canada paient $13 pour un sac de farine, alors que le reste du pays paie $5. Dans d'autres régions, les aliments "éthiques" sont souvent hors de portée des personnes à faible revenu qui ne peuvent pas se permettre ou n'ont pas accès à des aliments écologiquement durables.

    Le mandat confié au Canada par M. Trudeau consiste à élaborer une politique alimentaire qui "favorise un mode de vie sain et une alimentation sûre en mettant davantage d'aliments sains et de qualité, produits par les éleveurs et les agriculteurs canadiens, sur les tables des familles de tout le pays". L'alimentation éthique est souvent considérée comme l'apanage des petits agriculteurs. PepsiCo (qui s'est appuyé sur les Académie du développement durable) tente de changer cette perception en se donnant pour mission de "ne laisser aucune trace" dans l'ensemble de ses activités et de sa chaîne d'approvisionnement.

    La politique alimentaire doit être interconnectée et ancrée dans la santé, l'équité et la durabilité, et s'appuyer sur des recherches solides. Si le mandat de M. Trudeau s'adresse au ministre de l'agriculture, le Canada intègre également la mission au ministère des pêches et des océans, axé sur la science, en mettant l'accent sur un solide programme de certification et d'inspection.

    Une approche systémique nécessite la contribution de nombreuses parties prenantes. Le gouvernement canadien a lancé une enquête en ligne et des consultations "Une politique alimentaire pour le Canada" dans tout le pays. Ces consultations mettent en évidence les mêmes problèmes de sécurité alimentaire que ceux rencontrés dans le monde entier : influence étrangère sur l'agriculture, déserts alimentaires urbains, inégalités raciales, injustice à l'égard des travailleurs agricoles temporaires, pauvreté, changement climatique, protection de l'environnement et maladies liées à l'alimentation, médicaments et antibiotiques provenant de l'agriculture biologique et de l'élevage. https://www.cdhfinechemical.com/cdh_data/antibiotics-online/ pour n'en citer que quelques-uns.

    En tant que praticiens du développement durable, l'approche systémique est naturelle. Mais quels sont les éléments clés ? Les parties prenantes ? Les considérations de matérialité d'une industrie à l'autre ? Même l'exploitation minière, qui affecte les ressources en eau, influe sur la sécurité alimentaire. Les praticiens du développement durable, grâce à leur compréhension intégrée, sont particulièrement bien placés pour répondre à ces préoccupations.

    Le CST couvre ces sujets dans son Programme des praticiens certifiés en matière de développement durable (édition avancée 2017). Les deux dates restantes en Amérique du Nord sont Toronto, les 26 et 27 septembre, et San Diego, du 31 octobre au 1er novembre 2017.

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