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    Trois occasions manquées au G20 et une raison pour laquelle cela n'a pas d'importance

    Three Opportunities Missed at the G20 and One Reason Why it Doesn’t Matter

    Quel sera l'impact de la réunion du G20 en Allemagne sur le développement durable des entreprises ? Vingt des plus grandes économies du monde ont fait face à la nécessité d'abandonner les énergies et les technologies polluantes tout en maintenant la croissance de l'économie mondiale. À bien des égards, elles ont manqué le coche en matière de développement durable.

    Formation au développement durable (La solution miracle en matière de durabilité : Investir dans la formation !) est plus importante que jamais. Même si les gouvernements ne peuvent pas s'organiser pour promouvoir la durabilité, les entreprises multinationales reconnaissent l'impératif de durabilité. Elles feront cavalier seul, en s'appuyant sur la vision et le dynamisme des praticiens du développement durable.

    Première occasion manquée - Une mondialisation accrue avec un commerce durable

    Le président américain Donald Trump a fait sa première apparition au G20, qui avait pour mission d'aborder des questions commerciales telles que le commerce équitable et la responsabilité des entreprises. Conformément à l'accent mis par l'Allemagne sur la finance, plusieurs groupes de travail ont préconisé une réduction du protectionnisme et l'adoption d'un code financier uniforme. Ces deux mesures vont à l'encontre des déclarations passées de M. Trump, qui risquent d'entraver l'ouverture du système commercial multilatéral. Par exemple, les États-Unis prennent position avec la Chine sur la production d'acier, menaçant d'ériger des barrières commerciales.

    Deuxième occasion manquée : l'unanimité sur le changement climatique

    Le G20 s'est penché sur le changement climatique, en mettant l'accent sur l'énergie, les infrastructures, les transports, les terres et l'industrie. Il y a urgence, car l'AIE et l'IRENA (agences internationales de l'énergie) prévoient des investissements nécessaires de 120 milliards de dollars américains dans des projets énergétiques entre 2016 et 2050 (soit deux fois le taux annuel actuel de 1,8 milliard de dollars) pour atteindre les objectifs de Paris. Trump est resté inflexible sur l'accord de Paris, faisant passer sa rencontre tant attendue avec Poutine avant la session sur le changement climatique.

    Troisième occasion manquée - Pratiques de travail équitables au niveau mondial

    Les principaux syndicats mondiaux ont demandé aux dirigeants du G20 de considérer l'accord du Bangladesh sur la sécurité des travailleurs comme un modèle pour la promotion de pratiques commerciales durables. Dirigé par l'OCDE, l'accord du Bangladesh a été prolongé jusqu'en 2018 à Paris et signé par 15 grandes marques de l'industrie de l'habillement et du textile, mais un consensus mondial n'a pas encore été trouvé.

    Malgré ces faux-pas, Nikos Avlonas, président du Center for Sustainability and Excellence (CSE), estime que les faux-pas ne freineront pas les progrès en matière de changement climatique. "Les chefs d'entreprise s'en assureront", écrit-il pour la revue Blog de l'Académie du développement durable.

    Formations CSE promouvoir la préparation professionnelle, couvrir la législation et les normes mondiales, les connaissances fondamentales nécessaires à la durabilité internationale des entreprises. La prochaine formation aux États-Unis aura lieu en Ville de New YorkLes 28 et 29 septembre, sous la direction de Nikos Avlonas, suivi de Toronto, les 26 et 27 octobre, et San Diego, du 31 octobre au 1er novembre.

     

     

     

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