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    Le rapport de durabilité défend-il son trône face au rapport intégré ?

    Does Sustainability Reporting defend its throne against Integrated Reporting?

    La nécessité de promouvoir le rapport intégré fait l'objet de nombreuses spéculations. Plus précisément, on peut se demander ce que représente réellement le rapport intégré. Ce qui est admis, c'est que le rapport intégré n'est pas encore devenu une tendance majeure pour les organisations qui communiquent leurs performances financières et non financières. Les principales préoccupations concernent l'"utilité" de ces rapports intégrés pour la majorité des parties prenantes des entreprises. Les clients, les consommateurs, les utilisateurs et les fournisseurs doivent être davantage motivés par la structure et le contenu d'un rapport intégré.

    D'autre part, les parties prenantes financières semblent être plus positives à l'égard des informations présentées et les trouvent plus pertinentes, étant donné que les tendances mondiales sont, pour ces groupes intéressés, présentées non seulement dans la performance financière des entreprises, mais aussi dans leur performance ESG (environnementale, sociale et de gouvernance).

    CSE, dans le monde certifié Programme pour les praticiens du développement durable en mars, à Londres couvre l'importance des rapports sur le développement durable et présente certaines des meilleures pratiques en matière de communication des rapports.

    En ce qui concerne les rapports intégrés, ils s'adressent à un public/des groupes de parties prenantes spécifiques, principalement le secteur financier, ce qui est renforcé par le fait que la Fédération bancaire européenne demande aux autorités du secteur financier de l'Union européenne de créer un cadre intégré et normalisé pour la communication des données.

    En outre, selon une enquête d'Eurosif, 83 des 90 investisseurs européens interrogés ont indiqué qu'ils soutenaient la directive européenne sur l'information non financière et qu'ils pensaient qu'elle devrait conduire à une intégration avec l'information financière.

    Les entreprises qui sont légalement tenues de communiquer leurs informations non financières envisagent d'établir des rapports intégrés afin de se conformer à cette obligation et de communiquer leurs performances à leurs parties prenantes financières (investisseurs, actionnaires, etc.).

    La recherche montre qu'il existe une tendance à combiner les rapports financiers et non financiers (RSE), mais sans les décrire comme des rapports intégrés (ni suivre les lignes directrices correspondantes). Elles tendent à combiner leurs rapports financiers avec des indicateurs de performance ESG, ou à combiner simplement les deux rapports distincts.

    Les rapports intégrés restent de loin la forme de rapport la moins appréciée par les organisations, tandis que les rapports annuels, les rapports sur la RSE et les bilans annuels sont le plus souvent préférés.

    Selon l'étude du CST pour l'Europe et l'Amérique du Nord, aucune tendance significative n'a été révélée en ce qui concerne les rapports intégrés. Sur un échantillon de 475 et 642 entreprises/rapports respectivement, le pourcentage de rapports intégrés est inférieur à 10 %.

    N'oubliez pas de réclamer votre place à l'Advanced Programme "Certified Sustainability Practitioner" à Londres. Elle comprendra une présentation des résultats surprenants de la recherche 2018 sur l'intégration des objectifs de durabilité et l'impact de la durabilité (CR). La recherche se concentre sur les pratiques de reporting de plus de 460 entreprises issues des principaux secteurs d'activité et souligne les considérations clés liées aux objectifs stratégiques communs, aux objectifs d'impact social, aux ODD de l'ONU, aux pratiques de reporting et d'assurance externe ainsi qu'à la législation.

    Pour plus d'informations, veuillez contacter [email protected].

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